00:00:00 / 00:00:00


FRANCAIS - ENGLISH
Art du vêtement - Epoque contemporaine - Belgique - Histoire de l'art Lyse Vancampenhoudt La femme Fin-de-Siècle et la mode à travers la peinture belge. Quelques exemples de portraits bourgeois de 1880 à 1914.
Amateur
Reporticle : 196 Version : 1 Rédaction : ? Publication : 15/02/2017
Notes
Notes

Notes

NuméroNote
1Fashioning Fashion. Deux siècles de mode européenne, 1700-1915, Los Angeles, County Museum of Art, 2 octobre 2010- 27 mars 2011, Berlin, Deutsch Historisches Museum, 27 avril - 29 juillet 2012, Paris, Musée des Arts décoratifs 13 décembre 2012 – 14 avril 2013, p.27.
2Ibid., p.18.
3PERROT (Michelle), DUBY (Georges), Histoire des femmes en Occident, 4 Le XIXème siècle, Paris, Plon, 2002, pp.13-14.
4MONNEYRON (Frédéric), La frivolité essentielle :  du vêtement et de la mode, Paris, Presses universitaires de France, 2008, p.18.
5La peinture de genre est une catégorie picturale qui comprend des scènes de caractère anecdotique, familier, intime ou populaire.
6ALLARD (Sébastien), Portraits publics-Portraits privés 1770-1830, Paris, Réunion des Musées Nationaux, 2006, p.43.
7KIHARA (Elizabeth), Alfred Stevens (1823-1906) and “la femme seule”:  Construction of Modernity in French Art of the Later Nineteenth Century, [S.I.], Elisabeth Kihara, 2002.
8SHACKELFORD (George T.M.), Faces of impressionism :  portraits from the musée d’Orsay, Yale, University Press, 2014, p.16.
9ROCAMORA (Agnes), « Paris à la Mode :  La Parisienne dans la Presse Mode », in :  Paraître et apparences en Europe occidentale du Moyen Âge à nos jours, Villeneuve d’Ascq, Presses du Septentrion, 2007, pp.319-322.
10Herman Richir (1866-1942) est un peintre de formation académique, il sort entre autre de l’atelier de Jean-François Portaels où il acquiert une technique picturale traditionnelle et classique à laquelle il reste fidèle. Il réalise durant sa carrière plus de 400 portraits et est, comme Alfred Stevens, le peintre de l’ « éloge de l’éternel féminin ». Il connaît de son vivant une reconnaissance unanime qui lui permet de fréquenter le milieu aristocratique et mondain de la grande bourgeoisie. Ces rencontres lui permettent d’entrer dans le petit cercle des portraitistes de la bonne société de la Belle Epoque. Une exposition lui a été consacrée :  Herman Richir, Bruxelles, Hôtel Communal de Schaerbeek, 6 décembre 2002 – 31 janvier 2003.
11Paul Poiret (1879-1944) est un créateur de mode parisien. Il ouvre sa propre maison de couture en 1903 et crée en 1906 la robe qui le rendra célèbre et pour laquelle il se vantera d’avoir libéré la femme. Celle-ci, simple et étroite présente une jupe qui commence sous la poitrine et tombe droite jusqu’au sol. Inspirée de la ligne Empire, elle permet de ne pas porter de corset mais un simple corsage ancêtre du soutien-gorge.
12Moi ou un autre :  autoportraits d’artistes belges, Bruxelles, Galerie Dexia, 20 septembre 2002 – 26 janvier 2003, p.13.
13Le catalogue propose un retour sur l’évolution de cet accessoire indispensable :  Chapeaux :  1750-1960, Paris, Musée de la mode et du costume, 1er février – 13 avril 1980.
14Ibid., p.13.
15ADRIAENS-PANNIER (Anne), Spilliaert :  le regard de l’âme, Anvers, Ludion, 2006, p.79.
16MILLERET (Guénolée), La mode du XIXe siècle en images, Paris, Eyrolles, 2012, p.455.
17LEFEBVRE (Christiane) et FOUCART (Jacques), Alfred Stevens (1823-1906), Paris, Brame & Lorenceau, 2006, p.175.
18MILLERET (Guénolée), op. cit., p. 342.
19Ibid., p.344.
20Au sens où Pierre-Yves Balut le définit, l’allure comme esthétique spécifique du port. Toutes allures non nécessaires au déplacement qu’est la démarche. BALUT (Pierre-Yves), Théorie du vêtement, Paris, L’Harmattan, 2014, p.38.
21BERKO (Patrick), BERKO (Viviane), REY (Stéphane), Fernand Toussaint :  1873-1956, Knokke-le-Zoute, Berko, 1986, p.1.
22L’Echo Belge :  journal quotidien du matin paraissant à Amsterdam, vendredi 17 mai 1918, 4ème année, n°1301. https://hetarchief.be/nl/media/lecho-belge-journal-quotidien-du-matin-paraissant-amsterdam/gghHXTKWBlURIQSktDSlCN74 (10-08-16).
23SCHÄFER (Carina), « Théo Van Rysselberghe, Henry Van de Velde et la clientèle allemande des portraits néo-impressionnistes », in :  FROISSART (Rossella), Du romantisme à l’Art déco :  lectures croisées :  mélanges offerts à Jean-Paul Bouillon. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2011, pp.167-179.
24Ibid., p.178.
25Ibid., p.178.
26Cette remarque a été émise par Caroline Esgain, conservatrice du Musée du Costume et de la Dentelle.
27On connaît par exemple le cas de Théo Van Rysselberghe qui a dû refuser la robe de son modèle alors que celle-ci avait été faite pour l’occasion car elle « détraquait l’harmonie générale ». Cette anecdote est rapportée dans SCHÄFER (Carina), op. cit., pp.167-179.
28Théo Van Rysselberghe :  L’instant sublimé, Lodève, Musée de Lodève, 9 juin – 21 octobre 2012, p.128.
29Loc. cit.
30Loc. cit.
31Loc. cit.
32Le kakémono est un mot francisé qui provient du japonais et désigne une peinture ou une calligraphie réalisée sur papier ou soie en rouleau qui est destinée à être accrochée au mur.
33Théo Van Rysselberghe :  L’instant sublimé, op. cit., p.130.
34ADRIAENS-PANNIER (Anne), Spilliaert :  le regard d’une âme, Anvers, Ludion, 2006, p.171.
35Ibid., p.79.
36NOCHLIN (Linda), « Le portrait impressionniste et la construction de l’identité moderne. », In :  BAILEY (Colin B.), COLLINS (John B.), NOCHLIN (Linda) et al., Les portraits de Renoir :  Impression d’une époque, Paris, Gallimard, 1997, p.64.
37Loc. cit.
38NOCHLIN (Linda), op. cit., p.59.
39NANCY (Jean-Luc), Le Regard du portrait, Paris, Editions Galilée, 2000, p.15.
40Anna Boch (1848-1936) est une peintre impressionniste et luministe. Elle joue également un rôle important de mécène. Elle est la fille de Victor Boch, un des fondateurs de la faïencerie Royal Boch-Keramis de La Louvière.
41BROGNIEZ (Laurence), et GEMIS (Vanessa), « Les femmes, les XX et La Libre Esthétique :  entre ombre et lumière. », In :  HAINE (Malou) et LAOUREUX (Denis), Bruxelles, convergence des arts (1880-1914), Paris, Vrin, 2013, p.229.
42Isidore Verheyden (1846-1905) est un peintre de paysages, de portraits et un aquarelliste. Il fait son apprentissage à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles avant d’entrer dans l’atelier de Jean-François Portaels.
43THOMAS (Thérèse) et DULIERE (Cécile), Anna Boch 1848-1936, Tournai, Renaissance du livre, 2000, p.83.
44Ibid., p.85.
45Ibid., p.83.
46Loc. cit.
47THOMAS (Thérèse), LENGLEZ (Michelle) et DUROISIN (Pierre), Anna Boch :  catalogue raisonné, Bruxelles, Editions Racines, 2005, p.151.
48FELTKAMP (Ronald), Théo Van Rysselberghe 1862-1926, Bruxelles, Editions Racines, 2003, p.181.
49PALMER (Michael), L’Art belge d’Ensor à Panamarenko, 2ème édition, Bruxelles, Editions Racine, 2013, p.136.
50Loc. cit.
51BERTRAND (Olivier), Regards sur un destin. Nel Wouters :  Version inédite de ses souvenirs, Bruxelles, Belgian Art Research Institute, 2000, p.47.
52Ibid., p.56.
53Ibid., p.74.
54Titre expressif de l’ouvrage :  MONNEYRON (Frédéric), La frivolité essentielle :  du vêtement et de la mode, Paris, Presses universitaires de France, 2008.