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Peinture - Moyen Age - Renaissance - Belgique - Histoire de l'art Hélène Mund, Valentine Henderiks Apport à la connaissance du Maitre de Hoogstraten Le Triptyque de la Sainte Famille entourée d’anges
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Reporticle : 246 Version : 1 Rédaction : 24/11/2010 Publication : 26/03/2020
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1Dimensions avec cadre : ensemble ouvert : panneau central: 71 x 58,1 cm. (± 0,3), volet gauche : 71 x 28,9 cm. (± 0,3), volet droit : 71 x 29,2 cm. (± 0,1). Ensemble fermé : 71 x 58,7 cm. (± 0,1).
2Cohen W. : Provinzial-Museum in Bonn. Katalog der Gemäldegalerie, Bonn, 1927, 73-74.
3Cohen W. : Die Sammlung Wesendonck. Zeitschrift für bildende Kunst, 21, 1909, 62.
4Friedländer M.J. : Provinzial Museum in Bonn. Gemäldegalerie. Kunstchronik, 1914, 519.
5Kunsthaus Lempertz, Auktion Wesendonck-von Bissing (Rheinisches Provinzialmuseum Bonn), 27 novembre 1935.
6Londres, vente Sotheby’s, 24.06.1964, n° 8.
7Communication verbale de Robert Finck à Hélène Mund en 1985.
8Bien que peu fréquente dans la peinture des Pays-Bas méridionaux, la présence du ficus a été relevée ailleurs dans l’école brugeoise. Cf. Périer-D’Ieteren, C. : Sainte Famille entourage de Gérard David. Prototype et variantes. Dal ritrovamento all’indagine. Due Sacre Famiglie di ambito fiammingo a confronto : storia, iconografia, restauro, Gênes, 2008, 9.
9Une hypothèse intéressante a été récemment formulée par Micha Leeflang. Selon elle, si le dessin sous-jacent est si fréquemment apparent en surface dans les peintures anversoises du XVIe siècle, ce ne serait pas seulement en raison de la perte de transparence des couches picturales. Il pourrait s’agir d’une intention originelle de l’artiste qui, en laissant le dessin sous-jacent visible, pouvait superposer moins de couches de couleurs pour rendre les zones d’ombre. Se faisant, il diminuait le temps de séchage des peintures et accélérait d’exécution du travail. Il répondait ainsi aux exigences d’économie d’échelle, telles que préconisées pour la production en série de retables anversois au XVIe siècle. Cf. Leeflang M.: Workshop Practices in Early Sixteenth-century Antwerp Studios. Jaarboek Koninklijk Museum voor Schone Kunsten Antwerpen 2004-05/Antwerp Royal Museum Annual, 2006, 269-270.
10Cf. Périer-D’Ieteren C. : Un dessin inédit du Maître de 1518 et les volets peints du retable I de Västerås. Konsthistorisk tidskrift, 53 (1984), 47-52. Cf. également l’étude des dessins dans : ExtravagAnt ! A Forgotten Chapter of Antwerp Painting 1500-1530. Anvers Koninklijk Museum voor Schone Kunsten 15 octobre-31 décembre 2005. Maastricht Bonnefantenmuseum 22 janvier-9 avril 2006. 
11Cf. Ainsworth M., Faries M., Northern Renaissance Paintings, The Discovery of Invention. The Saint Louis Art Museum, 18, 1986, 31-34.
12Cf. à ce sujet, Leeflang M., : Op. cit, 253-261.
13Un constat identique a été relevé par M. Leeflang à propos du Triptyque de l’Adoration des Mages du Maître de l’Adoration d’Anvers, cf. ExtravagAnt ! A Forgotten Chapter of Antwerp Painting 1500-1530. Anvers Koninklijk Museum voor Schone Kunsten 15 octobre-31 décembre 2005. Maastricht Bonnefantenmuseum 22 janvier-9 avril 2006, n°68, 162-165.
14Mund H. et al : Op. cit., n° 209, 99-123.
15Pour une description technique de la primuersel, cf. Bergeon Langle S. et Currie P. : Peinture & dessin. Vocabulaire typologique et technique, 1, Paris, 2009, 370. 
16Friedländer M.J. : Op. cit., 1971, pl. 88, n° 116.
17Friedländer M.J. : Op. cit., 1971, pl. 86, n° 110.
18Voir la main gauche de saint Joseph dont les doigts pliés ne tiennent pas son chapeau mais sont posées sur celui-ci et la main droite du joueur de viole dont les doigts sont posés au-dessus des cordes et non pincés sur elles.
19Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, inv. 4630, fol. 116. Cf. Serck, L. : L’Album Errera et le Recueil d’esquisses de Berlin dans leurs relations réciproques et leurs rapports avec Henri Bles. Actes du colloque « Autour de Henri Bles », 2002, 103-104.
20Cavelli Traverso, C. : Primitivi fiamminghi in Liguria, Gênes, 2003, 124.
21Monasterio de las Descalzas reales, inv. n° 00162.365. Dimensions hors cadre : 75 x 59 cm. Merci à Mme C. García-Frías Checa, conservateur au Patrimoine national, pour son aimable information. De la confrontation des deux oeuvres au travers d’un seul document photographique de lecture imprécise, on ne peut tirer à ce stade d’autre jugement que celui de l’hypothèse d’une origine commune.
22Voir plus haut note 14. Rien n’indique cependant que ces volets accompagnaient nécessairement un panneau central identique à celui du triptyque Wesendonck. Le facteur de rentabilité étant un élément majeur dans la pratique des ateliers au début du XVIe siècle, les modèles étaient disponibles et adaptables au gré de la clientèle.